Tuesday, July 26, 2011

Bulletin du hockey féminin du Lac St-Louis – Juillet 2011


Bulletin du hockey féminin du Lac St-Louis – Juillet 2011
Les filles réunies au Hockey Féminin
Le 5 juin 2010, Hockey Québec a réuni tous les directeurs régionaux du hockey féminin à travers la province et a étudié le sujet du hockey féminin. D’autres participants intéressés au sujet, et des entraîneurs des niveaux collégial et universitaire ont participés aussi à la journée.
Maintes discussions ont eu lieu, visant surtout les points suivants : l’accès au jeu, le développement d’arbitres et entraîneurs féminins, et bien sûr les programmes de simple et double lettres.
Tous les propos ont été notés et utilisés pour l’élaboration du plan de développement 2011-2013. Ce plan de développement a été présenté aux directeurs régionaux du hockey féminin le 4 juin 2011.
Avec le plan de développement en place, une liste de tâches établies avec des échéanciers et des objectifs fixés, la direction du programme de hockey féminin au Lac Saint-Louis a demandé au Conseil d'administration à adopter une résolution à déplacer toutes les filles du hockey masculin au hockey féminin à l'exception des filles qui pourraient jouer au plus haut niveau (Atome « BB », Peewee « AA», Bantam "AA", ou Midget "AA" / Midget Espoir).
La région du Lac St-Louis est alors la deuxième région au Québec ayant adopté une résolution d’une telle nature; la région du Richelieu a adopté une résolution semblable en avril 2011.
Le résultat est que parmi les 393 filles jouant au hockey dans la division masculine en 2010-2011, selon leur niveau et catégorie, il n’y aurait que 9 filles jouant dans la division masculine.
Plan de développement 2011-2013
Une partie intégrale du plan est la variété des disciplines offertes.
Au hockey masculin, il y a l’apprentissage, le loisir, la compétition et l’excellence.
Le hockey féminin retrouve les mêmes disciplines. L’apprentissage comprend les niveaux de pré-novice, novice et atome; la discipline de loisir comprend les programmes simple lettre offerts des niveaux Atome à Junior; la compétition au hockey féminin est limitée aux niveaux Peewee et Bantam AA, tandis que le Midget AA fait partie du programme d’excellence qui comprend aussi le hockey au Cégep, U18, U22 et le programme National Canadien.
Une nouvelle adjonction au plan de développement par Hockey Québec est le début des équipes U14 et U16. Ces équipes sont formées pour attirer et découvrir les joueuses talentueuses ayant moins de 16 ans; et pour faire connaître à ce groupe le programme d’excellence et d’entraînement de haute performance. Le but est de développer ces joueuses pour améliorer le calibre du hockey féminin, et les préparer davantage pour le niveau de compétition supérieur requis pour jouer pour l’équipe U18.
Les équipes U14 et U16 sont des résultats directs du succès connu en Alberta aux Jeux du Canada. L’Alberta a remporté la médaille d’or en février 2011. Ils avaient commencé la préparation de leurs joueuses dès l’âge de 12 ans, et ont continué jusqu’au Jeux du Canada quand ces filles avaient 16 ou 17 ans.
Durant la première semaine de juillet, 66 filles de la province ont été invitées pour participer au camp U16. Il y avait 9 filles de la région du Lac St-Louis. Trois de ces 66 filles ont été promues au camp U18 suite à leur participation, et 2 de celles provenaient du Lac St-Louis, dont Samantha Rhainds et Julia Yetman.
Pour résumer, l’apprentissage dure 5 ans, durant laquelle période on établit les compétences de base. La formule loisir est disponible tout le long de la carrière d’une joueuse, soit d’Atome à Junior. Le niveau compétition dure 4 ans et permet à la joueuse de perfectionner ses compétences, et de commencer à comprendre les exigences du niveau d’excellence qui suit. L’apprentissage des joueuses devrait suivre un programme standard pour la province.
Pour certains, ce plan de développement peut paraître bien fixé sur les joueuses élites. C’est bien évidemment une priorité pour Hockey Québec, puisque le Québec compte toujours une bonne proportion de l’équipe médaillée d’or aux Olympiades. Cette réussite n’est pas un hasard, mais le résultat d’une planification bien pensée.
À cette fin, certains éléments sont de rigueur. Les filles doivent avoir la possibilité d’avoir des entraîneurs avec les niveaux de perfectionnement adéquats, un temps de pratique régulier sur glace et un conditionnement physique hors glace, et tout ceci pour permettre une force physique, une agilité, une mobilité et un conditionnement hors pair pour permettre une bonne compétition.
Ceci est la réalité pour toutes les joueuses du niveau MAGH au niveau de l’excellence.
Développement athlétique à long terme (DALT)
En 2007, toutes les nations participant aux sports olympiens ont adopté un programme de DALT, pour les sports qui requièrent un développement à plus long terme. Nous avons tous vu les médaillées d’or en gymnastique pour les participantes de 14 ans; il faut un peu plus long pour développer à un tel niveau au hockey.
Le conditionnement physique hors glace fait maintenant partie intégrale du développement de toutes les équipes au niveau double lettre.
Il faudra également un programme standardisé pour les équipes au niveau simple lettre, combinant la pratique sur glace et le conditionnement hors glace pour continuer le développement de ces joueuses.
Mythe éclaté
Par le passé, un nombre important de filles ont choisi de jouer au hockey au niveau loisir dans le programme hockey masculin, au lieu de jouer au niveau compétition « AA » dans le cadre du hockey féminin, croyant que le développement serait meilleur.
Ceci est un mythe, tout particulièrement si votre fille se prépare pour jouer au niveau excellence lors des années Midget et après.
Le niveau loisir au hockey masculin demeure du hockey loisir. Les entraîneurs pour ce niveau détiennent un certificat loisir, et n’offrent pas un programme de développement semblable au niveau compétition. Le temps attribué à la pratique sur glace est de beaucoup inférieur, parfois jusqu’à un tiers par rapport au niveau compétition.
Les entraîneurs au niveau « AA » sont obligés d’avoir un certificat Compétition 1 au minimum. Ce niveau d’entraînement est conçu pour les compétences requises au niveau compétition : soit la préparation pour les séances de pratique, l’utilisation de la glace, et le développement des compétences progressives dans un environnement compétitif.
Si vous cherchez à développer votre fille pour atteindre le niveau excellence, il est faux de croire que le niveau de loisir et le niveau de compétition pourraient avoir le même résultat, car les résultats seront différents…100%! Ces niveaux sont conçus pour des résultats différents.
Équilibre entres les garçons et les filles
Un des sujets faisant l’objet de fortes discussions lors de l’assemblé en juin 2010 et noté au plan de développement, fût l’accès au temps de glace qui est différent pour le hockey féminin et masculin.
Certaines organisations à l’intérieur du Lac St-Louis offrent un temps de glace moindre aux équipes féminines dans la catégorie simple lettre car ces équipes comptent moins de joueuses. Une équipe formée de 11 joueuses, selon les dirigeants de ces organisations, ne devraient pas avoir un temps de glace équivalent à une équipe masculine composée de 15 joueurs.
Je ne pense pas être d’accord avec cette logique. Nous savons tous par contre que c’est pratique courante à travers maintes organisations dans la province. Il y a des organisations qui ne suivent pas cette ligne de pensée, et loin d’une grande surprise pour moi, ce sont les mêmes organisations qui ont des programmes féminines connaissant beaucoup de succès. Leur succès se manifeste en ayant suffisamment de joueuses pour compléter trois équipes « AA », et au niveau simple lettre un plus grand nombre de victoires et plus de comparutions aux championnats régionaux.
Cette nouvelle résolution de placer les filles du côté hockey féminin, aura pour effet les résultats suivants. En premier lieu, l’accès au temps de glace sera régularisé pour les organisations attribuant la glace selon le nombre de joueurs. En deuxième temps, cela permettra un bassin plus profond de talent au hockey féminin qui aura comme effet pour réduire l’écart de talent à l’intérieur d’une même équipe; ceci est critique pour aider les entraîneurs d’une équipe à bien répondre aux besoins de toutes les joueuses, et les entraîneurs seront plus aptes à vouloir prendre une équipe. Le troisième avantage est que les joueuses s’épanouissent plus sur une équipe féminine avec des activités axées plus pour les filles, plutôt que d’être la seule fille sur l’équipe masculine.

Membres de l’équipe Canada ont joués au sein du hockey masculin
Le débat féminin vs masculin existe depuis longtemps, et on entend souvent que les médaillées d’or aux Olympiades pour le Canada ont joué pour des équipes masculines, et que c’est grâce à ce cheminement que ces joueuses ont atteint ce niveau d’excellence pour représenter le Canada et remporter ces médailles. C’est vrai, mais le sport a évolué depuis ce temps!
Catherine Ward, une joueuse du Lac St-Louis qui a remporté l’or aux Olympiades à Vancouver, a joué au hockey féminin tout au long de sa carrière. Non seulement elle a joué pour le Lac St-Louis, mais elle devenue la « star » au Cégep Dawson, a remporté le Championnat national avec les Martlets de McGill, et la saison dernière a joué pour l’université de Boston, pendant qu’elle étudiait pour sa maîtrise et a visité la Chine pour 12 semaines. Catherine est bien exceptionnelle…..certainement un modèle de rôle pour nos filles?
Rebecca Johnson, une co-équipière de Catherine de l’équipe Olympienne, a joué durant sa jeunesse pour les « Sudbury Lady Wolves » et alterne son temps de jeu entre l’équipe canadienne nationale et pour l’université de Cornell.
Bien que Caroline Ouellette, Sarah Vaillancourt et Kim St-Pierre ont toutes évoluées dans des programmes masculins et ceci a bien évidemment contribué à leur développement, le hockey féminin n’était pas aussi perfectionné à cette époque, en le comparant à l’état présent. Il n’y avait même pas de ligue « AA » dédiée pour les filles. Il n’y avait pas d’équipe nationale qui les attendait! Il faut se rappeler que Kim et Caroline sont des pionniers pour le hockey féminin! Elles ont participé à la première équipe Olympienne, en 1998 à Nagano. C’est elles qui ont formé l’équipe nationale que nous connaissons maintenant.
Aujourd’hui, avec les possibilités s’offrant aux filles dans le hockey, le retour de joueuses élites comme entraîneur et instructeur, le mentorat qui est offert par les « stars » des niveaux collégial et universitaire, le développement des filles au hockey féminin est à un niveau jamais connu!
Il y a très peu de formules ou méthodes qui ont été enseignées durant les années 1970 et 1980 qui demeurent dans le hockey à présent. Le sport a évolué! Le même est tout à fait vrai pour le hockey féminin.
La région du Lac St-Louis et le hockey féminin au Québec
Le Lac St-Louis compte 52 équipes féminines, un sommet dans la province. Comme leader, c’est notre responsabilité de montrer le chemin. Nous pouvons montrer à nos pairs comment le hockey féminin peut profiter d’un plan d’action quand nous le mettons dans nos priorités.
Non seulement nous avons le plus grand nombre d’équipes, mais notre contribution au niveau excellence est sans égal. Selon un rapport publié et distribué lors l’assemblé le 4 juin 2011, le Lac St-Louis a fourni plus de joueuses que toutes les autres régions. Parmi les équipes U18 depuis 2004-2005, 23,6% de ces joueuses provenaient du Lac St-Louis. La région en 2e rang pour cette statistique, est celle du Richelieu avec 17,9%.
À ce jour, 40 filles participent au camp U18 pour 2011-2012 et le Lac St-Louis détient 35% de la participation, ce qui exclut les 2 filles promues de l’équipe U16. Encore, le Richelieu se positionne au 2e rang avec 12,5% des joueuses.
Pour résumer, nous devons assumer notre responsabilité de faire accroître le développement du hockey féminin et augmenter le taux de succès de la province.
Horaire de sessions d’évaluation pour le « AA » du Lac St-Louis :
• 17 août – 17h00-18h30 Peewee Elites et Selects à Pointe-Claire 2
• 17 août – 18h30-20h00 Bantam Elites et Selects à Pointe-Claire 2
• 20 août – 11h30-13h30 Midget Elites, Selects et Kodiaks à DDO 3
• 20 août – 13h30-15h00 Bantam Elites et Selects à DDO 3
• 20 août – 15h00-16h30 Peewee Elites et Selects à DDO 3

Saturday, July 23, 2011

"AA" Tryout schedule Unvieled


Lac St Louis “AA” Tryout schedule

August 17 17h00-18h30 Peewee Elites/Selects at Pointe Claire 2
August 17 18h30-20h00 Bantam Elites and Selects at Pointe Claire 2
August 20 11h30-13h30 Midget Elites, Selects and Kodiaks DDO Rink 3
August 20 13h30-15h00 Bantam Elites and Selects DDO Rink 3
August 20 15h00-16h30 Peewee Elites and Selects DDO Rink 3
August 24 17h45-19h15 Peewee Elites and Selects Pointe Claire 2
August 24 19h15-20h45 Bantam Elites and Selects Pointe Claire 2
August 24 20h45 -22h15 Midget Elites, Selects and Kodiaks Pointe Claire 2
August 27 11h30-13h30 Midget Elites, Selects and Kodiaks DDO Rink 3
August 27 13h30-15h00 Bantam Elites and Selects DDO Rink 3
August 27 15h00-16h30 Peewee Elites and Selects DDO Rink 3
August 31 17h45-19h15 Peewee Elites and Selects Pointe Claire 2
August 31 19h15-20h45 Bantam Elites and Selects Pointe Claire 2
August 31 20h45-22h15 Midget Elites, Selects and Kodiaks Pointe Claire 2
Sept 3 10h15-11h45 Peewee Elites and Selects DDO Rink 2
Sept 3 11h45-13h15 Bantam elites and Selects DDO Rink 2
Sept 3 13h15-14h45 Midget Elites, Selects and Kodiaks DDO Rink 2


A straight fee of $65 for each player is required which covers all the tryouts.

3 Lac St Louis Girls Invited to U22 Team Canada Camp


Three Lac St Louis girls have been invited to the Team Canada U22 camp in Rockland, Ontario August 6 to August 16th. The three ladies are: Melodie Daoust, Jamie Leonoff and Laurieane Rougeau.

Meldoie, a forward, just completed two seasons with Edouard Montpetit CEGEP in Longueuil and has committed to the McGill Martlets for the coming season, joining the reigning CIS champions. Melodie had previously played on Canada's U18 squad in 2007, 2008 and 2009.

Laurieane, a defenseman, is returning to Cornell University where Laurieane has been a second team all american in her her freshman and sopohomore years. Laurieane captained Canada's first U18 squad, has been a member of Canada's U22 team for three years.

Jamie Leonoff, a goalie, just graduated from Pomfrets School and , while away at school, suited up for the Connecticut Polar Bears U19, Tier 1 team and attended the US Nationals. Jamie is committed to Yale University for the upcoming school year.

SIX JOUEUSES DU QUÉBEC AU CAMP DES -22 ANS




Hockey Canada a annoncé vendredi les noms des 40 joueuses qui ont été invitées au camp de l'équipe nationale féminine de développement/des moins de 22 ans du Canada, qui se tiendra du 7 au 16 août, à l’Académie canadienne et internationale de hockey, à Rockland, Ontario.

De cette liste, les québécoises Mélodie Daoust, Roxanne Douville, Jaimie Leonoff, Cassandra Poudrier Lauriane Rougeau et Marie-Philip Poulin auront la chance de percer l'alignement final.

La liste d’invitation comprend quatre gardiennes de but, 12 défenseures et 24 joueuses d’avant. Les choix ont été faits en fonction des résultats des tests au camp de préparation physique du printemps dernier et des évaluations au cours de la saison 2010-2011 par les dépisteurs de Hockey Canada, y compris la performance au sein du programme de l’équipe nationale féminine du Canada, avec leur équipe de club et aux championnats provinciaux et nationaux des ligues du Sport interuniversitaire canadien (SIC) et de la National Collegiate Athletic Association (NCAA).

Hockey Canada a également annoncé jeudi que l’ancienne membre de l’équipe nationale féminine Laura Schuler (Scarborough, Ont./Université de Minnesota Duluth, WCHA) sera l’entraîneure-chef de l’équipe, alors que Rachel Flanagan (Guelph, Ont./Hockey Canada) et Rebecca Russell (Lethbridge, T.-N.-L./Okanagan Hockey Academy) occuperont un poste d’entraîneure adjointe.

Après le camp, les dépisteurs de Hockey Canada et le personnel d’entraîneures de la formation continueront d’évaluer les joueuses dans leur équipe de club durant la saison 2011-12. Ceci servira à sélectionner l’équipe canadienne qui participera à la Coupe MLP 2012, en janvier prochain, à Füssen, Allemagne. Le Canada a gagné ce tournoi international huit fois en neuf ans, ne perdant que deux rencontres.

CLIQUEZ ICI POUR VOIR L’HORAIRE DU CAMP DE L'ÉQUIPE NATIONALE FÉMININE DE DÉVELOPPEMENT/DES MOINS DE 22 ANS DU CANADA

Les 40 joueuses présentes au camp de l'équipe nationale féminine de développement/des moins de 22 ans du Canada seront divisées en deux formations : les Bleus et les Jaunes. Elles prendront part à des entraînements et des matchs intraéquipes au cours de la semaine. Ce camp sera organisé en collaboration avec le camp de sélection de l’équipe nationale des moins de 18 ans, qui divisera 40 autres joueuses en deux groupes, les Rouges et les Blancs, pour des entraînements et des matchs intraéquipes.

CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA LISTE DES JOUEUSES INVITÉES AU CAMP DE L'ÉQUIPE NATIONALE FÉMININE DE DÉVELOPPEMENT/DES MOINS DE 22 ANS DU CANADA

La liste d’invitation au camp de l'équipe nationale féminine de développement/des moins de 22 ans du Canada comprend :

Une joueuse qui a remporté la médaille d’or avec l’équipe nationale féminine du Canada aux Jeux olympiques d’hiver de 2010 à Vancouver, C.-B. (Poulin)

Deux joueuses centralisées avec l’équipe nationale féminine du Canada à Calgary, Alberta, durant la saison 2009-10 (Jenner, Poulin)

Trois joueuses qui ont mérité la médaille d’argent avec l’équipe nationale féminine du Canada au Championnat mondial féminin 2011 de l’IIHF, à Winterthur et Zurich, en Suisse (Poulin, Spooner, Watchorn)

Trois joueuses qui ont gagné la médaille d’argent avec l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada au Championnat mondial féminin des moins de 18 ans 2011 de l’IIHF, à Stockholm, Suède (S. Bram, Edney, Kosta)

Douze joueuses qui ont aidé l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans du Canada à mériter sa première médaille d’or au Championnat mondial féminin des moins de 18 ans 2010 de l’IIHF, à Chicago, Illinois (Armstrong, Bestland, Campbell, Cudmore, Daoust, Davis, Howe, Mercer, Poudrier, Rattray, Saulnier, Terry)

Seize joueuses qui ont mérité l’or avec l’équipe nationale féminine des moins de 22 ans du Canada à la Coupe MLP 2011, à Kruezlingen, Suisse (B. Bram, Douville, Fortino, Haverstock, Kohanchuk, McIntosh, McKeough, Ménard, Prevost, Rougeau, Saulnier, Spooner, Terry, White, Watchorn, Wong)

Il s’agira d’un premier camp du programme national féminin pour quatre joueuses : Laura Brooker (Fergus, Ont./Université Wilfrid Laurier, OUA), Mel Desrochers (Welland, Ont./Université St. Lawrence, ECAC), Reagan Fischer (Irma, Alb./Collège Dartmouth, ECAC) et Sasha Nanji (Markham, Ont./ Collège Dartmouth, ECAC).

Les joueuses invitées au camp de l'équipe nationale féminine de développement/des moins de 22 ans du Canada, réparties par province :

Ontario – 22 (Armstrong, Babstock, Brooker, Cudmore, Desrochers, Edney, Fortino, Howe, Jenner, Kosta, Mazzotta, McKeough, McIntosh, Ménard, Mercer, Nanji, Prevost, Rattray, Spooner, Terry, Watchorn, White)

Québec – six (Daoust, Douville, Leonoff, Poudrier, Poulin, Rougeau)

Manitoba – cinq (Bestland, B. Bram, S. Bram, Grenier, Kohanchuk)

Nouvelle-Écosse – trois (Haverstock, Saulnier, Wong)

Alberta – deux (Fischer, Pacholok)

Terre-Neuve-et-Labrador – une (Davis)

Saskatchewan – une (Campbell)

Hockey Canada organisera aussi diverses activités de développement de hockey féminin, y compris des séminaires pour les entraîneures et les officielles, des camps d’habiletés pour les joueuses, des mini matchs aux entractes et des activités Vivez un rêve, ce qui donnera la chance à de jeunes joueuses de se joindre à des joueuses de moins de 18 ans pour des séances d’échauffement sur et hors glace durant la série de trois matchs entre le Canada et les États-Unis.

Hockey Québec souhaite bonne chance à Mélodie Daoust, Roxanne Douville, Jaimie Leonoff, Cassandra Poudrier Lauriane Rougeau et Marie-Philip Poulin!

Thursday, July 21, 2011

Interview with Dawson College women's Coach Scott Lambton


Interview with Dawson College women’s coach, Scott Lambton, on the trends he has seen in the development of girls hockey and regarding specifics to Lac St Louis girls hockey

Scott, you have been coaching Dawson women’s team since ?
Eight years! Head coach for the past five seasons.
And how has the game evolved since you started coaching?
I think that in the last 3 or 4 years , the lower end of girls hockey has improved so that gap between the strong and weaker girls has narrowed. The high side has stayed the same or lowered just a bit.
What do you attribute that to?
Not as many girls, high end girls are coming to the CEGEP level with the same level of game sense that we had experienced earlier. Catherine Ward, Lauriane Rougeau and Marie Phillippe Poulin, these girls had a great understanding of the game.
With the exception of Catherine Ward, these girls came out of boys hockey. Laurianne and Marie Phil played Midget Espoir, they may have been better prepared having played boys hockey at that level.
However, we see the girls playing boys hockey learning too many bad habits in an attempt to survive the game, whereas the girls playing girls hockey continue to grow their skills and competition levels . the game knowledge, we hope, will be addressed as they lose the fear of being injured by an over sized boy.
In our program we play a possession style game and there are certain nuiances to that game which are fundamentally different than dumping the puck in the corner and trying to over power the defender for the puck. We like to create offensive opportunities, we like to delay as we enter the zone look for the trailer, these aspects are not developed at some of the boys levels and we see girls getting the puck, chipping it deep thereby removing the threat of being hammer by the defenseman.

Hockey Lac St Louis joined Richelieu Hockey in passing a resolution to move all girls to girls hockey with the exception of girls who can play and compete at the highest level. What are your thoughts on that?

My first reaction is I like it because , as I mentioned before, we play a possession game and I believe that the Lac St Louis “AA’ program (and Richelieu as well) will teach more of that game inside girls hockey than the girls would learn playing BB or Cc or A or B.

Exposure for the girls, with the new resolution, is going to be better. We, as recruiters, no longer have to worry about missing a girl who plays CC or BB on some team. The girls we are looking for will either be playing “AA” boys or “AA” girls and we can spend more time focused on those two areas rather than covering all sorts of different level tournaments and games to follow the girls at the various levels.


Who is the best player that you have coached?

Marie Phillippe Poulin

What, in your opinion, needs to taught more of at the lower levels, before they come to the CEGEP level?

Mental Aspect?
They need work more on the mental preparation of the game…they need more mentoring, they need to have better time management skills as the first half season is very overwhelming for incoming CEGEP students.
Physcial Aspect? Not enough exposure to high intensity training. Hockey Quebec has taken some steps with their U14 and U16 programs to introduce the girls to high performance training but it needs to be instilled earlier
Skills Aspect? Skating? Basic skating, yes…Agility and explosiveness and footwork, the standard is too low in this aspect.
Puck Possession? This is the weakest area. Because too many have developed bad habits to survive. Playing Bantam BB or Cc, Midget BB, Midget CC or A or B does more harm than good. From what I know from lac st Louis, a girls hockey’s team is going to get more practice hours…just being on ice, you are bound to get better!
When you put a girl with contact hockey with guys, they tend to throw pucks away to protect themselves from being hurt.. both forwards and defensemen do this….
Should there be more contact in girls hockey here in Quebec considering what Quebec teams face in national tournaments?
Two girls battling are usually in the same strength neighbourhood, while with guys versus a girl, the strength equation is too lob sided. If Quebec is moving towards developing a league where it is a AAA regional level, like the teams at the Esso Cup, then yes…that battling would be a great addition and if they could take out the stick work then, that would be great as well!
How do you find the level of coaching in Lac St Louis?
The past four or five years there has been a significant improvement in the preparation of the girls, the coaching has improved as coaches seem to be putting more energy in the girls preparation. Still, there are many areas of improvement as we discussed in what the girls need to be taught before arriving at CEGEP level… but there is certainly a better preparation, as I mentioned earlier that the mid and lower level CEGEP players skills are much further ahead than they were four or five years ago.

Thanks for your time, Scott!

Thursday, July 14, 2011

PREMIER CAMP DE SÉLECTION D’ÉQUIPE QUÉBEC FÉMININE




Hockey Québec tient à souligner la tenue du camp de perfectionnement d’Équipe Québec féminine moins de 16 ans.
Le camp se tiendra au complexe GM Thibault de Sherbrooke les 9 et 10 juillet 2011 sous la responsabilité de monsieur Pierre Alain, entraîneur-chef des Cheminots de St-Jérôme, de la ligue de hockey collégial féminin.

Pour l’occasion, les 66 joueuses invitées seront divisées en deux groupes. Les joueuses proviennent de la journée portes-ouvertes tenue plus tôt cette année.

Il faut mentionner que le programme de développement des joueuses de moins de 16 ans a été mis sur pied afin de s’assurer du développement des meilleures joueuses identifiées du Québec. Avec ce programme, la fédération s’assure de :

- Identifier les talents de joueuses de hockey québécoises;
- Introduire nos meilleures joueuses de 16 ans et moins au Programme
d’excellence de Hockey Québec et au programme d’entraînement d’un athlète
de haute performance;
- Développer les meilleures espoirs féminins du Québec et par le fait même
d’améliorer le niveau de jeu du hockey féminin en sol québécois;
- Enseigner les valeurs et l’éthique de travail du programme Équipe Québec;
- Suivre et préparer la relève pour le Programme d’Équipe Québec des moins de
18 ans.


Voici la liste finale des joueuses en présence :



ALIGNEMENT ÉQUIPE BLEU - PROGRAMME DE MOINS DE 16 ANS
# NOM PRÉNOM POSITION TIR DDN GRANDEUR POIDS ÉQUIPE 2010-2011 DIVISION CLASSE
1 Ayotte Marie-Pier G G 22-04-1997 5'3'' 110 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
29 Connolly Vicky G G 15-07-1997 5'6'' 125 lbs Hurricanes Masteuiash Bantam CC
30 Lebrun Sabrina G G 20-08-1996 5'4'' 95 lbs Turbo Suroît Est Bantam BB
31 Rehel Frédéric G G 27-05-1996 5'5'' 115 lbs Mariniers Rimouski Bantam BB
33 Soucy Noémie G G 02-02-1996 5'5'' 128 lbs Bulldogs du Rocher Bantam CC
35 Trévisan Maude G G 04-05-1997 5'8'' 155 lbs Pionnières Laurentides Bantam AAF

2 Fredette-Ménard Audrey D D 14-05-1997 5'2'' 120 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
3 Laganière Brigitte D G 01-08-1996 5'3" 115 lbs Canadiennes Montréal Bantam AAF
4 Therrien Maude-Sophie D G 01-04-1996 5'2'' 115 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
5 Vigneault Kimberley D G 24-01-1998 5'3'' 145 lbs Basques Sept-Iles Pee-wee BB
12 Bezeau-Tremblay Marilou D G 03-04-1997 5'6'' 116 lbs Pionnières Laurentides Bantam AAF
13 Domsodi Alyssa D D 30-10-1996 5'8'' 126 lbs Sélects LSL Bantam AAF
14 Scott Audrey D G 03-01-1997 5'9'' 120 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
15 Scully Karleigh Marlanya D D 24-04-1996 5'6'' 137 lbs Sélects LSL Bantam AAF

6 Audet Valérie A G 16-06-1997 5'3'' 120 lbs Express Richelieu Bantam AAF
7 Boudreau Mélina A G 30-01-1996 5'2'' 110 lbs Spartans Stanstead College Midget AAF
8 Boulianne Katia A D 15-01-1996 5'3" 92 lbs Pionnières Laurentides Bantam AA
9 Côté Delphine A G 06-02-1997 4'11'' 94 lbs Élites Estrie Bantam AAF
10 Dumais Léa A G 06-08-1997 5'1'' 105 lbs Sélects LSL Bantam AAF
11 Millette Vicky A G 09-04-1996 5'3'' 105 lbs Express du Richelieu Bantam AAF
16 Coutu-Godbout Sarah-Eve A G 16-06-1997 5'7" 127 lbs Capitale Rouyn-Noranda Bantam CC
17 Conner-Savage Morgan A D 18-07-1996 5'9'' 140 lbs Express Outaouais Bantam AAF
18 De Serres Mathilde A D 03-01-1996 5'5'' 135 lbs Ouragan Versant-Ouest Bantam CC
19 Ducharme-Roy Daphney A D 07-09-1996 5'6'' 120 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
20 Dussault Audrey A G 30-04-1996 5'8'' 135 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
21 Germain Annie A G 19-05-1996 5'6'' 160 lbs Kiwanis Lemieux Val d'Or Midget B
22 Houde-Gagnon Florence A D 22-05-1998 122 lbs Panthères Port-Cartier Pee wee A
23 Lalancette Stéphanie A D 28-09-1996 5'5'' 115 lbs Hurricanes Masteuiash Bantam CC
24 Picard Ève-Audrey A G 16-02-1996 5'4'' 120 lbs Remparts Richelieu Bantam AAF
25 Rhainds Samantha A G 05-11-1996 5'4.5'' 130 lbs Élites LSL Bantam AAF
26 Tremblay Noémie A D 18-10-1996 5'4'' 120 lbs Rebelles Gaguenay Bantam AF
27 Valentim Rachelle A G 22-11-1996 5'5'' 127 lbs Rebelles Laval Bantam AAF



ALIGNEMENT ÉQUIPE BLANC - PROGRAMME DES MOINS DE 16 ANS
# NOM PRÉNOM POSITION TIR DDN GRANDEUR POIDS ÉQUIPE 2010-11 DVISION CLASSE
1 Bélanger Sarah-Jane G G 02-06-1996 5'6'' 115 lbs Sélects du Nord Bantam AAM
29 Bouchard Mathilde G D 10-08-1996 5'8'' 130 lbs Blues Baie-Comeau Bantam AM
30 Boucher Vanessa G G 09-03-1997 5'2'' Aiglons Alma Bantam BB
31 Choquette-Corbeil Rosalie G D 27-05-1997 5'4'' 130 lbs Express du Richelieu Bantam AA
33 Philbert Alice G G 10-11-1996 5'3'' 101 lbs Phénix du Richelieu Bantam CC
35 Roy Elsa G G 18-03-1997 5'3'' 165 lbs Frontière Coaticook Bantam CC

2 Calderone Alexandra D G 04-02-1997 5'2'' 115 lbs Sélects Lac St-Louis Bantam AAF
3 Deaudelin Christine D G 13-06-1997 5'3'' 110 lbs Express du Richelieu Bantam AA
4 Léonard Delphine D G 02-01-1996 5'4'' 106 lbs Canadiennes Montréal Bantam AAF
5 Nikolidakis Alexandra D D 13-02-1997 5'3'' 135 lbs Rebelles Laval Bantam AAF
12 Daoust Caroline D D 28-02-1996 5'6'' 150 lbs Barracudas 2 Rives Bantam BB
13 Haddad Jessie D G 07-07-1996 5'7'' 120 lbs Rebelles Laval Bantam AAF
14 Hébert Mauranne D G 15-01-1997 5'6'' 130 lbs Cyclones Bas St-Laurent Midget AAF
15 Tousignant Sabrina D G 05-05-1997 5'6'' 115 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
16 Yetman Julia D G 15-12-1996 Barracudas Deux Rives Bantam BB

6 Bernier Judyanne A G 05-09-1996 4'11.5'' 96 lbs Cyclones Bas St-Laurent Bantam AAF
7 Diotte Geneviève A D 11-02-1997 5'4" 116 lbs Draveurs 2 Mont-Laurier Bantam AF
8 Duncan Sherry A G 02-08-1996 5'4'' 117 lbs Express Outaouais Bantam AAF
9 Lecours Kellyane A D 23-01-1997 5'4'' 120 lbs Tigres Victoriaville Bantam CC
10 Milot Marie-Anne A G 09-04-1997 5'3'' 115 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
11 Ouellet Andreyann A G 10-07-1996 5'1'' 115 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
17 Beaulieu Noémie A G 07-04-1996 5'3'' 130 lbs Élites Estrie Bantam AAF
18 Chapdelaine Jolanne A D 18-07-1996 5'6'' 125 lbs Élites Estrie Bantam AAF
19 Drouin Alexe A G 23-04-1996 5'5'' 125 lbs Express Richelieu Bantam AA
20 Giguère Élizabeth A D 08-05-1997 5'8'' 128 lbs Citadelles de Québec Bantam AAF
21 Labelle Alexandra A G 27-02-1996 5'7'' 155 lbs Étolies Beauval Bantam AAM
22 Laloche Moreen A D 10-02-1996 5'8'' 150 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
23 Phillion Claudia A G 22-05-1996 5'9'' 136 lbs Express Outaouais Bantam AF
24 Poirier Isabelle A G 27-01-1996 5'4'' 123 lbs Canadiennes Montréal Bantam AAF
25 Roy Sophie A G 02-01-1996 5'1'' 125 lbs Rafales Mauricie Bantam AAF
26 Tremblay Annie-Pier A D 29-09-1996 4'10'' 102 lbs Rapides de l'Estrie Bantam AAF
27 Stacey Brooke A G 28-06-1996 5'8" 136 lbs Ontario Hockey Academy Midget AAF
28 Tremblay Élisabeth A D 23-06-1996 5'3'' 126 lbs Express Richelieu Bantam AAF


Voici un horaire abrégé comprenant toute l’information nécessaire pour assister aux matchs du camp :
Camp Programme de développement des moins de 16 ans :

Samedi 9 juillet 2011

9h00-10h30 Pratique Équipe Blanc
10h30-12h00 Pratique Équipe Bleu
15h00-16h30 Pratique Équipe Blanc
16h30 à 18h00 Pratique Équipe Bleu

Dimanche 10 juillet

9h00-10h30 Pratique Équipe Blanc
10h30-12h00 Pratique Équipe Bleu
14h30-16h00 Match Bleu vs Blanc
Hockey Québec souhaite BONNE CHANCE à toutes les participantes!

À propos de Hockey Québec
Hockey Québec est un organisme de régie, fondé en 1976, qui coordonne les activités d’environ 7 000 équipes comprenant 100 000 joueurs disséminées au sein de quelque 250 organisations sportives et qui appuie le travail de près de 50 000 administrateurs bénévoles, entraîneurs et officiels à travers le Québec. Pour plus de détails, visitez-le site Internet de Hockey Québec.

Girls hockey in Lac St Louis: The Changes explained


Girls from Boys Hockey Moving to Girls Hockey

On June 5, 2010 Hockey Quebec assembled all the regional directors of girls hockey in the province and spent the day examining the pros and cons of girls hockey. Also invited were a selection of outside parties that had an interest in the development of girls hockey, CEGEP and university coaches.

The discussions that flowed from this get together covered all areas of the game, from providing access to the game to the development of girl referees and coaches, to single letter to double letter girls programs.

All the points were recorded and these points were used to establish a development plan for 2011-2013. That development plan was presented to the regional girls hockey directors on June 4th 2011.


With the development plan in place, a task list established with timelines and stated objectives, the leadership of the girls hockey program in Lac St Louis asked the Board of Directors to pass a resolution to move all girls from boys hockey to girls hockey with the exception of girls who could play at the highest level ( Atom “BB”, Peewee “AA”, Bantam “AA”, or Midget “AA”/ Midget Espoir).

Lac St Louis, in adopting this approach, were the second region in Quebec to pass a resolution of this nature. Richelieu passed a similar resolution in April of 2011.

The net result is that of the 393 girls who played boys hockey in 2010-2011, based on their level and category , there would only be 9 girls playing boys hockey.

The Development Plan 2011-2013

One of the features of the plan was the definition of hockey in terms of the services provided.

In boys hockey, you have Inititation, Recreation, Competition and Excellence.

Girls hockey has the same. Intitiation is covering the youngest age group, Pre Novice, Novice and Atom; Recreation covers the single letter programs offered from Atom to Junior, the competition level in girls hockey is limited in definition to Peewee AA and Bantam AA and Midget AA is part of the excellence program along with CEGEP hockey, U18, U22 and Canadian National programs.

A new addition to the development plan is that Hockey Quebec has started U14 and U16 development teams . These teams have been designed to identify the talent of the girl hockey players under 16 years of age; to introduce girls under 16 to the excellence program and high performance training; to develop these prospects and by so doing increasing the quality of the play in girls hockey in Quebec, instill good working habits for the U18 team by developing these habits earlier, follow and prepare these girls for the U18 program.

These two programs have been established in a direct response to the success Alberta had in the Canada Games. Alberta won gold in the Canada Games this past February by training and preparing their girls from the age of 12 to the time they reached Canada Games at 16 or 17 years old.

The first week of July, 66 girls from across the province were invited to participate in the first U16 camp. Of those 66 girls, 10 girls were from Lac St Louis. As a result of the camp, three girls were promoted to the U18 camp of which 2 of the three were from Lac St Louis, Samantha Rhainds and Julia Yetman.

So, to review Intitation program covers the first five years of development, establishing a base of skill.

Recreation is available the entire life of a minor hockey player from Atom through to the end of Junior hockey.

At the competition level, we have four years to teach girls how to compete in the girls game, and provide the tools to succeed in the excellence program. And, we have to have a delivery system that standardizes the teaching of the levels across the province.

To the average reader this may sound like we are developing a hockey program to yield high end players. Well, in some respects we are. Hockey Quebec is very proud of the fact that Quebec represents such a large portion of the Olympic gold medal winning rosters.

And, they know that this just doesn’t happen without a development plan to prepare and develop all the girls to yield the top end.

To that end, there are certain requirements that are necessary. Girls need to have proper level coaching, need sufficient practice ice to develop and they need to adhere to an off ice training regime that will help them develop the strength, agility, mobility and conditioning to compete at the highest level.

And, this is true from MAGH through to the Excellence levels…

LTAD

In 2007, all the Olympic participating sports and nations adopted the Long Term Athletic Development program in sports that were long term athletic development in nature. As you know, gymnasts can win Olympic gold medals at 14 years old, hockey players take a longer time to develop…

So dry land training has been adopted at the double letter level as a necessary requirement to all teams’ programs.

And, as this new season approaches, certain standards will be established for single letter teams as well.

A standardized single letter program that provides a combination of ice and dry land training is the key to continuing the development of girls in this fantastic sport.

Myth Busted

Many girls, until this year, have elected to play recreational hockey with the boys instead of “AA” hockey with the girls in the belief that their development will be better with the boys.

That is decidedly not true if you are preparing your daughter to play in the excellence program at the age of midget and beyond.

Recreational boys hockey is recreation hockey. The coaching at that level holds a recreation coaching certification and does not run the same kind of program that a competition program would provide. The commitment to practice ice is much lower, perhaps as much as a third of a competition program.

The “AA” coaching staffs are required to have completed a minimum of Competition 1 coaching certification and that coaching certification is designed to prepare coaches to run a competition level program…it teaches practice preparation, ice utilization, progressive skill development in a competition environment.

If you are looking to develop your daughter as a hockey player to enter the excellence level, you cannot expect to substitute a competition level of development with a recreation program and expect to yield the same results, because the results will not be the same…100%! The programs are designed for different purposes.

Balance between Boys and Girls

One of the points that was most loudly discussed at the June 2010 assembly and noted in the development plan was the access to ice for the girls program versus the access the boys program has.

We have organizations within Lac St Louis that provide less ice to their single letter girls programs because they have less members on their team. A team of girls that is made up of 11 members , in the minds of these organizational leaders, should not have the same access to ice as a boy team that has 15 members.

Well, I don’t know if I agree with that statement. But we know, across the province that this is in practice. There are organizations that do not practice ice scheduling like that and wouldn’t you know, those are the organizations that yield the more successful girls programs in terms of yielding girls to the three “AA’ programs, and in terms of wins and losses at the single letter programs and going further to regional championship appearances and championships.

In moving the girls who play recreational hockey, to have them join the girls program will do a number of positive things for the program. First, it will remove this obstacle in accessing ice in organizations that evaluate team membership as the criteria for distributing ice. Second, it will provide a deeper talent pool in which to develop girls …in effect narrowing the talent gap and making the coaching process a less challenging undertaking and further enhance the attractiveness of coaching girls hockey. Thirdly, it will give more girls the opportunity to enjoy the girl game, their tournaments, their events that are more slanted towards girls than boys…better instead of being the lone girl on a team.

Team Canada Players Played Boys Hockey

The agreement always surfaces that the ladies that win Olympic gold medals for Canada played boys hockey and that’s what developed them to be strong enough players to represent Canada and win those medals. That statement is true but its dated!

Catherine Ward, a Lac St Louis product who won gold with the 2010 women’s Olympic team in Vancouver, played girls hockey all the way through her development and it did not stall her development. Not only did she play in Lac St Louis, she went on to be a star at Dawson College, won National Championships with the McGill Martlets and this past season played at Boston University while completing her international Master’s degree which included a 12 week stay in China. Yes, Catherine is an exceptional person… but isn’t that the role model that we want our children to follow?

Rebecca Johnson, a team mate of Catherine’s on the 2010 gold medal winning Olympic team, played her hockey growing up for the Sudbury Lady wolves and when not playing for the Canadian National team, you can find Rebecca playing for the Cornell Big Red.

While the Caroline Ouellettes, Sarah Vaillancouts and Kim St Pierres did play boys hockey and it was instrumental in their development, girls hockey was not as developed as it is today. There was no “AA” league for the girls to play in at the time. There was no National team for them to aspire to either! Remember, Kim and Caroline, these are our pioneers! They were on the first Olympic team, 1998 in Nagano… they made the National program what it is today

Today, with the opportunities available for girls in hockey, the return of high level players to the coaching and instructional positions, the mentoring that is provided by these former stars of college and international levels, the development of girls in girls hockey cannot be beat!

There are very few things in hockey that were taught in the late 1970s and 1980s that we continue to follow today. The game has changed! And, the same is especially true in girls hockey.

Lac St Louis passes Girls Play with Girls


Hockey féminin Lac St-Louis
Recommandation au C.A. régional de Hockey Lac St-Louis le 6 juin 2011
Entériné par le conseil d’administration le 23 juin 2011
Considérant qu’il est important de promouvoir et d’assurer le développement en hockey
féminin de la région Lac St-Louis;
Considérant que la région Lac St-Louis offre aux joueuses depuis plusieurs années un
réseau régional et interrégional reconnue en hockey féminin;
Considérant que les joueuses des organisations locales féminines bénéficient des mêmes
ressources, activités et service équivalents que les équipes simple lettre masculines (1) ;
Considérant qu’il ne peut y avoir aucune allégation de discrimination fondée sur le sexe
puisque le droit à l’égalité en matière de sport n’implique pas nécessairement et
systématiquement l’intégration des filles dans des équipes sportives mixtes (2);
Considérant que Hockey Lac St-Louis est le maître d’oeuvre de son plan de développement
régional en hockey féminin, il est dûment proposé et appuyé que :
Pour la saison 2011-2012 et subséquentes, toute joueuse de la région Lac St-Louis éligible à
évoluer dans les divisions pee wee, bantam, midget et junior correspondant à son niveau
d’âge et qui ne peut se tailler une place avec une équipe masculine de compétition AA
seulement devra se rapporter à l’organisation locale de hockey féminine de son territoire
d’appartenance.
Pour la saison 2011-2012 et subséquentes, toute joueuse de la région Lac St-Louis éligible à
évoluer dans la division atome correspondant à son niveau d’âge et qui ne peut se tailler une
place avec une équipe masculine de compétition BB seulement devra se rapporter à
l’organisation locale de hockey féminine de son territoire d’appartenance.
Les gardiennes de but non-sélectionnées dans une équipe AA, pee wee, bantam et midget
féminine pourront évoluer dans une équipe masculine BB ou CC seulement.
Par contre, la région Lac St-Louis tiendra compte du facteur distance et pourra autoriser les
joueuses soumises à des déplacements supérieurs à 60 kilomètres de leur domicile pour se rendre
au lieu de pratique et/où match local de l’organisation de son territoire d’appartenance, à évoluer
avec des équipes masculines.
Toute demande de dérogation devra être approuvée au préalable par le responsable régional du
hockey féminin. Ce dernier devra par la suite faire entériner cette demande par le conseil
d’administration avant que la joueuse puisse joindre une équipe masculine.
(1) Commission des droits de la personne (Turbide)c.Fédération québécoise de Hockey sur Glace Inc
(1987) C.S. 1076
(2) Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (Paquin) c. Hockey Mauricie Inc.
(2000) N/réf : QUÉ-4328